jeudi 30 janvier 2020

Nouveauté Blu-ray : Soeurs d'Armes

Deux jeunes françaises, Kenza et Yaël, rejoignent une brigade de combattantes internationales parties se battre aux côtés des Kurdes. Leur quête croise celle de Zara, une rescapée Yézidie. Issues de cultures différentes mais profondément solidaires, ces Soeurs d'Armes pansent leurs blessures en découvrant leur force et la peur qu'elles inspirent à leurs adversaires...
Region B
Format Image: 2.39  16/9
Pistes Sonores: Version multilingue, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Le Cercle Noir

Muté pour avoir abattu un délinquant, Lou Torrey prend ses fonctions à Los Angeles précédé d'une solide réputation de flic à la gâchette facile. Il se lance alors sur les traces d'un parrain de la Mafia prêt à tout pour élargir sa zone d'influence et se débarrasser de ses concurrents. L'affrontement sera sans merci...
Region B
Format Image: 1.85  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 2.0
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Le Messager de la Mort

Le journaliste Garret Smith s'intéresse à un carnage perpétré dans une communauté mormone d'Arizona. Les victimes: les femmes et enfants d'une seule et même grande famille. Si les premières constatations de la police indiquent que les meurtres ont été commis sous prétexte de religion, Smith se montre plus sceptique, persuadé que l'affaire dépasse le cadre mormon...
Region B 
Format Image: 1.85  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 2.0 Mono
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Le Bourreau du Nevada

Réputé inflexible, le marshall Mackenzie Bovard reçoit une dernière mission avant de raccrocher définitivement les colts : arrêter quatre hors-la-loi coupables de l'attaque d'une diligence et de la mort de l'un de ses passagers. Si les deux premiers se balancent déjà au bout d'une corde et s'il envoie rapidement le troisième derrière les barreaux, le dernier va poser problème...
Region B
Format Image: 1.78  N&B  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 2.0 Mono
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Les Rivaux du Rail

Bien qu'elle ait officiellement obtenu l'autorisation de construire une ligne de chemin de fer à travers les Montagnes Rocheuses, la compagnie Denver & Rio Denver se heurte vite à une société rivale dont le représentant, McCabe, ne recule jamais devant la violence. Directeur des travaux de la première société, Jim Vesser le sait d'autant mieux qu'il le connaît pour avoir combattu à ses côtés pendant la Guerre de Sécession. L'affrontement sera inévitable...
Region B
Format Image: 1.33 
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 2.0 Mono
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Critique de AD ASTRA (2019) de James Gray



 💡 À savoir :

Pour réaliser ce film, James Gray (La nuit nous appartient) a voulu s’inspirer des recherches du lauréat du Prix Nobel de Physique Enrico Fermi qui ont servi de modèles pour l’exploitation de l’énergie nucléaire. Ce physicien pensait alors qu’une énorme catastrophe se produirait lors de la première fission nucléaire. James, à la fois angoissé et fasciné par ces énormes doutes sur l’avenir de l’humanité, a donc souhaité les retranscrire à l’écran, tout en déclarant s’être référé au livre de Joseph Conrad, “Au cœur des ténèbres”, ainsi qu’au grand classique Apocalypse Now.

James Gray signe ici son premier long-métrage de science-fiction. Plutôt habitué aux drames (Two lovers) et aux films de gangsters (Little Odessa) en temps normal, il sort maintenant de sa zone de confort et ne cache pas les craintes qu’il a pu avoir en se lançant dans un telle entreprise. Car au final, il effectue son baptême dans le genre fantastique qui lui était encore complètement inconnu jusqu'alors.

Le titre “AD ASTRA” signifie “Vers les étoiles” en latin (et c’est son titre en québécois). En fait, c’est un raccourci de la formule “Ad Astra per Aspera” qui veut dire “vers les étoiles, à travers la difficulté”.

Afin de nous faire vivre ce périple, nous pouvons compter sur l’excellent Brad Pitt (Fight Club) pour interpréter Roy McBride, un astronaute déprimé, névrosé, et horriblement seul. Néanmoins, sur son chemin il croisera brièvement la route de l’illustre Donald Sutherland (Hunger Games) en tant que le solennel colonel Tom Pruitt. De plus, il devra supporter l’équipage du vaisseau Cepheus destiné à l’amener à bon port, comptant entre autres un Jamie Kennedy (Le fils du Mask) méconnaissable, incarnant le sergent Peter Bello, et un Loren Dean (Bienvenue à Gattaca) sous les traits du craintif Donald Stanford.  Il rencontrera Ruth Negga (The Preacher) qui joue Helen Lantos et qui l’aidera à éclaircir sa quête jusqu’à l’autre bout de notre galaxie. Liv Tyler (Le seigneur des anneaux) fait quelques apparitions pour personnifier l’ex-femme de Roy, Eve McBride qui donne vie à ses souvenirs mélancoliques. Enfin, il y a évidemment le légendaire Tommy Lee Jones (Men In Black) dans le rôle du père de Roy, Clifford McBride.

Cette aventure métaphysique sonne les retrouvailles de Brad Pitt et Ruth Negga, la docteure de l’OMS à qui il donnait déjà la réplique dans l'invasion de zombies World War Z il y a 6 ans. Nous assistons aussi à la réunion de Donald Sutherland, Tommy Lee Jones et Loren Dean, 19 ans après avoir tous les trois comptés parmi le casting d’une autre excursion spatiale au cinéma : Space Cowboys de (et avec) Clint Eastwood. D’ailleurs, au cours de Ad Astra, Tommy Lee Jones est montré sur une vieille photo vêtu d'une combinaison orange (visible en regardant la bande-annonce), et il se trouve que c’est une image provenant de ce fameux Space Cowboys sorti en 2000. Or, il était très tentant de faire le lien entre les deux longs-métrages, et à juste titre, puisque dans le premier nous pouvions voir un Tommy Lee qui restait perdu dans l’espace pour un ultime sacrifice héroïque à la fin, et ici nous apprenons dès le début que son personnage est également disparu dans le cosmos depuis 16 ans. Beaucoup de grosses coincidences faciles à recouper, mais cette théorie d’un univers partagé fut très vite contredite catégoriquement par James Gray.

Je serais vous, j'éviterais de regarder en bas.

📖 L’histoire :

L’intrigue de Ad Astra se déroule dans un futur proche. L’ingénieur et astronaute émérite de la NASA, Major Roy McBride s’occupe de la maintenance d’une antenne de près de 30 kilomètres de hauteur. Travaillant près du sommet, il arrive à survivre in extremis à la destruction accidentelle de la tour.

Suite à cette introduction vertigineuse, lors d’une réunion des plus secrètes à laquelle Roy est convié, nous apprenons que cet accident était dû à une surcharge électrique venue de Neptune, et qu'elle fut tout autant destructrice sur la terre ferme. Mais le pire reste à venir étant donné que ces impulsions indéterminées restent imprévisibles et totalement incontrôlables.

Place à la révélation qui fera basculer Roy dans un questionnement incessant : son père Clifford qu’il pensait définitivement disparu aux confins de la galaxie, après avoir été le capitaine chargé d’une mission d’exploration galactique, n’est peut-être pas si mort que ça finalement. Responsable du “projet LIMA” destiné à rechercher une potentielle vie extraterrestre, il avait établi une base près de Neptune et n’a plus jamais donné de nouvelles depuis 16 ans. Présumé mort, il devient alors l'unique piste sur cette affaire, et est directement suspecté d’avoir un lien éventuel avec ces surcharges inexplicables terriblement dangereuses pour l’avenir du notre planète.

Le Major Roy n’hésite pas une seconde à accepter cette tâche de partir traquer son paternel. Ces pérégrinations intersidérales vont le mener de la Terre jusqu’à Neptune, en passant par la Lune et Mars.

Durant ses différentes escales, les péripéties de notre astronaute solitaire, nous font aller aux devants de graves dangers et, hélas pour lui, ce ne sont pas les compagnons avec qui il devra partager son parcours qui vont l’aider, même bien au contraire.

Pour arriver à destination et enfin découvrir la vérité sur son géniteur, il devra affronter de difficiles épreuves inattendues. Arrivera-t-il à les surmonter et à trouver le courage pour vaincre la solitude dans laquelle il s'enferme et s'enfonce continuellement? Pourra-t-il trouver la force de parcourir ces 4 milliards de kilomètres sur la piste de son patriarche oublié?

C'est un petit pas pour l'homme, une course poursuite effrénée en rover lunaire pour l'humanité.

📹 Réalisation / mise en scène :

Visuellement, il faut bien reconnaître que ce Ad Astra est vraiment à la pointe de ce que l'on a pu voir en 2019. L’esthétique générale est généreuse et fait véritablement plaisir à voir tant cela paraît grandiose et dantesque, tout en arrivant à rester subtilement réaliste et cohérent. Ce point là est parfaitement maîtrisé, et il est toujours bon de le souligner.

En effet, le récit est censé se passer dans un futur pas si lointain, et pourtant l'ensemble de la direction artistique paraît admirablement crédible. Nous pouvons saluer les consignes pertinentes de James Gray qui demanda à ce que les costumes ne ressemblent surtout pas à des "déguisements", ajoutant toujours plus de réalisme.

De la Lune entièrement colonisée par les humains de la pire manière, aux différents modèles de vaisseaux, jusqu’aux combinaisons spatiales, il n’y a rien qui dénote réellement à l’œil. Ces aspects légèrement futuristes semblent tellement rationnels et plausibles que l’on oublierait presque que cela ne se déroule pas durant notre époque contemporaine.

Le dépaysement est absolu, et assez effroyable tellement l’environnement paraît hostile à l’homme. Effectivement, les décors utilisés pour représenter les surfaces des différentes planètes, sont transposés directement depuis des paysages / deserts naturels, et cela renforce grandement l’immersion interplanétaire. Se passer le plus possible du “tout numérique” est souvent très bénéfique pour l’oeuvre dès lors que cela ajoute de l'authenticité.

Petite mention spéciale pour la direction sonore qui achève de nous immerger intégralement dans ce vide radical et sans pitié.

Les acteurs font tous corps avec leur personnage, de ce côté là encore, le casting fait assurément des étincelles.

Les scènes d’action sont trépidantes et sensationnelles, réalisées de manière magistrale. la tension est palpable et il serait impossible de rester stoïque face à ces nombreuses complications imprévues. Les effets spéciaux sont impeccables et franchement renversants. 

Cette réalisation reste extrêmement sérieuse et sobre, aucune trace d’humour dans cet exercice de survie. En revanche, il en ressort beaucoup de sentiments et de messages profonds sur notre condition humaine, sur les mystères de l'espace infini, sur les relations familiales, sur l’amour, ou encore sur la solitude.

Par contre, il est à noter que le rythme de la narration n’est pas forcément aussi bien mis en place que le reste. De fait, sur les 2 heures de durée, entre les moments contemplatifs époustouflants, les flashbacks disséminés tout du long ralentissant l'avancement de l'histoire, et les passages d’un immense suspense insoutenable qui refont passer à la vitesse supérieure, le découpage des séquences s'avère irrégulier. Il pourra en décontenancer plus d’un, et c’est fort compréhensible. Malgré cela, la voix-off de Roy nous aide à garder les enjeux en tête en permanence, tout en nous permettant de nous identifier au protagoniste et à son isolement volontaire.

Plus proche de la science que de la fiction, l'intégralité du déroulement de cette odyssée interstellaire se laisse suivre assidûment, jusqu’à arriver à son dénouement final qui divisera obligatoirement de par son parti pris hors du commun. James Gray a fait un choix plutôt engagé quant au message qu’il veut faire passer, nous ne le jugerons pas ici, mais nous pouvons comprendre que les questions soulevées, comme les réponses apportées, puissent être relativement clivantes et ne feront pas l'unanimité.

Dans l'espace personne ne vous entendra crier, car on a tout bien insonorisé!

 💛 Impression générale :

Voyage astral de haute volée, Ad Astra est une épopée monumentale et mémorable. Entre le méga blockbuster épique, et le film d'auteur intimiste, il n'y aura pas de jaloux.

Servi par des acteurs de qualité, des effets spéciaux bluffants de réalisme, des visions cosmiques splendides, mêlées à la dangerosité de cet environnement si mortel, nous vivons cette quête initiatique à fond, accompagnés par l'amertume et les incertitudes de notre héros.

Pour un budget respectable de 90 millions de dollars représentant quasiment la moitié des budgets habituels pour une telle grosse production américaine, il n'en aura rapporté malheureusement "que" 127 millions de dollars au total, ce qui reste loin de crever l'écran. Dommage car cela fait un petit coup dur pour la jeune société de production que Brad Pitt dirige, Plan B, qui aurait bien aimé se faire une place au soleil mais qui n'arrive apparemment pas à décrocher la Lune.

Quand il voyage jusqu'à Mars, qu'il me parle en voix OFF, je vois la vie en rouuuuge!

🏆 Notes parmi l'équipe :

Damien

Christophe

Olivier

Jacques



Critique rédigée par Damien


mercredi 29 janvier 2020

Nouveauté Blu-ray : Alice et le Maire

Le maire de Lyon, Paul Théraneau, va mal. Il n'a plus une seule idée. Après trente ans de vie politique, il se sent complètement vide. Pour remédier à ce problème, on décide de lui adjoindre une jeune et brillante philosophe, Alice Heimann. Un dialogue se noue, qui rapproche Alice et le maire et ébranle leurs certitudes...
Region B
Format Image: 1.85  16/9
Pistes Sonores: Français DTS-HD MA 5.1 & 2.0
Sous-Titres: Français (sourds et malentendants)
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Les Enfants de la Mer

Ruka, jeune lycéenne, vit avec sa mère et se consacre à sa passion, le handball. Hélas, elle se fait injustement exclure de son équipe le premier jour des vacances. Furieuse, elle décide de rendre visite à son père à l'aquarium où il travaille. Elle y rencontre Umi, qui semble avoir le don de communiquer avec les animaux marins. Ruka est fascinée. Un soir, des événements surnaturels se produisent...
Region B
Format Image: 2.35  16/9
Pistes Sonores: Japonais, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

vendredi 24 janvier 2020

Nouveauté 4K Ultra HD Blu-ray disponible aux USA : Terminator Dark Fate

Mexico, aujourd'hui. Dani Ramos, 21 ans, travaille sur une chaîne de montage dans une usine automobile. Celle-ci voit sa vie bouleversée quand elle se retrouve soudainement confrontée à 2 inconnus : d’un côté une machine des plus évoluées, venue du futur pour la tuer ; de l’autre, un super-soldat génétiquement augmenté, envoyé pour la protéger...
Region A (Blu-ray 2K)
Format Image: 2.39  16/9  HDR10 & Dolby Vision
Pistes Sonores: Anglais Dolby Atmos, Français Dolby Digital 5.1
Sous-Titres: Français
Inclus le Blu-ray 2K et la copie numérique du film

Nouveauté Blu-ray disponible aux USA : Terminator Dark Fate

Mexico, aujourd'hui. Dani Ramos, 21 ans, travaille sur une chaîne de montage dans une usine automobile. Celle-ci voit sa vie bouleversée quand elle se retrouve soudainement confrontée à 2 inconnus : d’un côté une machine des plus évoluées, venue du futur pour la tuer ; de l’autre, un super-soldat génétiquement augmenté, envoyé pour la protéger...
Region A
Format Image: 2.39  16/9
Pistes Sonores: Anglais Dolby Atmos, Français Dolby Digital 5.1
Sous-Titres: Français
Inclus le DVD zone 1 et la copie numérique du film

Nouveauté 4K Ultra HD Blu-ray : Evil Dead

Cinq amis en vacances s'installent dans un chalet dans les bois. En remettant en marche un vieux magnétophone, ils libèrent sans le savoir une force maléfique. C'est le début d'un véritable cauchemar...
Region B (Blu-ray 2K)
Format Image: 1.33   HDR10 & Dolby Vision
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1 (doublage 2003) & Dolby Digital 2.0 (doublage 1983)
Sous-Titres: Français
Inclus le Blu-ray 2K et le DVD de bonus du film
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Evil Dead Trilogie Édition Ultime

L'intégrale de la saga culte signée Sam Raimi disponible pour la première fois en Blu-ray issue de nouveaux masters 4K et proposant plus de 10 heures de suppléments !

Suivez les aventures de Ash, héros malgré lui, des années 80 à l'année 1300. En combat permanent contre les forces du mal, Ash devra affronter le Nécronomicon (le livre des morts) pour avoir une chance de survivre à sa malédiction...


Region B
Evil Dead
Format Image: 1.33
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1 (doublage 2003) & Dolby Digital 2.0 (doublage 1983)
Sous-Titres: Français

Evil Dead 4K
Format Image: 1.33  HDR10 & Dolby Vision
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1 (doublage 2003) & Dolby Digital 2.0 (doublage 1983)
Sous-Titres: Français

Evil Dead II
Format Image: 1.85  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-Titres: Français

Evil Dead 3 : l'Armée des Ténèbres
Format Image: 1.78 & 1.85   16/9
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 2.0 (version cinéma)
Sous-Titres: Français
Inclus les 3 montages du film : Cinéma (88 min), Américaine (80 min) et Director's cut (96 min)

Inclus le livre de 112 pages sur l'univers Evil Dead
Inclus le jeu de plateau exclusif à cette édition

Edition limitée et numérotée à 1500 exemplaires

Disponible à la boutique HD LAND



Nouveauté Blu-ray : Evil Dead Trilogie

L'intégrale de la saga culte signée Sam Raimi disponible pour la première fois en Blu-ray issue de nouveaux masters 4K et proposant plus de 10 heures de suppléments !
Suivez les aventures de Ash, héros malgré lui, des années 80 à l'année 1300. En combat permanent contre les forces du mal, Ash devra affronter le Nécronomicon (le livre des morts) pour avoir une chance de survivre à sa malédiction...
Region B
Evil Dead
Format Image: 1.33
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1 (doublage 2003) & Dolby Digital 2.0 (doublage 1983)
Sous-Titres: Français

Evil Dead II
Format Image: 1.85  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-Titres: Français

Evil Dead 3 : l'Armée des Ténèbres
Format Image: 1.78 & 1.85   16/9
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 2.0 (version cinéma)
Sous-Titres: Français
Inclus les 3 montages du film : Cinéma (88 min), Américaine (80 min) et Director's cut (96 min)

Disponible à la boutique HD LAND

Retard d'expéditions en raison des grèves à Paris

En raison du bouclage du quartier de HD LAND à Paris pour cause de manifestations, les expéditions du jour sont bloquées. Nous espérons que la situation sera débloquée en début de semaine prochaine. Veuillez nous excuser pour la gène occasionnée.

jeudi 23 janvier 2020

Test du Zappiti Pro 4K HDR Audiocom Cinema Edition





Le site HCFR a publié une superbe critique du Zappiti Pro 4K HDR Audiocom Cinema Edition extrêmement détaillée du produit. En voici quelques extraits choisi:


À propos de l'audio :

"Le plus surprenant reste cependant les détails plus subtils accompagnants ces changements : la qualité des timbres, le gain en perception des micros-détails, et surtout l’homogénéité d’ensemble ! (..) Même dans les déferlements acoustiques de scènes d’actions violentes à niveau sonore soutenu, tout est en place. Il n’y ni projection ni agressivité, ni sensation de « confusion », tout reste stable, maîtrisé en quelque sorte, dans le bon sens du terme. Je pense que le travail de l’horloge a un rôle important dans ce résultat. (...) Il en découle une excellente lisibilité, avec des voix, que ce soit sur les films ou chantées dans les concerts, qui gagnent immanquablement en présence et en clarté de compréhension."




À propos de la vidéo :

"Le premier élément qui me soit apparu de façon générale est une très agréable sensation analogique (dans le bon sens du terme) de l’image, s’accompagnant parfois de cette tessiture argentique si belle dont font preuve certains masters issues de captation pellicule de haute volée (cf les films de C. Nolan sur pellicule IMAX 70mm). J’avais déjà remarqué cette capacité propre aux appareils vidéo numérique très haut de gamme, à diminuer l’effet « numérique » justement, de leur rendu.(...) Le second élément qui m’est apparu est un gain en fluidité. (...) Et puis, au fur et à mesure que le rodage avançait, la caractéristique propre à ce lecteur, la plus importante et la plus impressionnante de moins point de vue, a commencé à apparaître : il s’agit de l’absence de structure numérique de l’image ! (...) S’ajoute à cela un grain de pellicule qui en devient extrêmement agréable, comme si l’espace entre chaque grain, là où l’on a souvent la sensation que se loge les artefacts numériques, était absolument nettoyé, vide de tout défaut. Et la résultante directe de cet effet, est une fabuleuse impression de relief , qui ferait presque croire sur certains plans, que l’on est en 3D, avec un étagement des différents plans vers la profondeur de l’image inédit pour moi et que je n’avais perçu jusque-là avec une telle présence, qu’en salle de cinéma (projection IMAX en particulier). Là encore, et sans avoir les connaissances techniques suffisantes pour justifier de l’expérience visuelle vis-à-vis des améliorations techniques mises en place par AUDIOCOM, je pense néanmoins que l’implémentation de l’horloge y est pour beaucoup."


Test du Zappiti Pro 4K HDR Audiocom Cinema Edition...

Zappiti 4K HDR: nouveau firmware bêta 3.15



Le nouveau firmware bêta v3.15 pour les lecteurs de la gamme Zappiti 4K HDR est en ligne !

Nouveautés:
- Support du 12-bit (uniquement en YCbCr 444 et 420).
- Suppression du grain du fond d’écran de la page d’accueil.
- La page d’accueil est désormais en Français (nécessite de choisir Français dans les Paramètres Android), ainsi que d’autres langues (Anglais, Allemand, Espagnol, Russe).
- Possibilité de choisir le lecteur vidéo de son choix pour les applications de streaming (“Nuplayer” ou “Native Player”).
- La page d'accueil supporte désormais les écrans au ratio d'affichage 2.35:1.
- Nouveaux réglages d'image tels que: contraste, luminosité, saturation et teinte.
- Ajout d'un mode de mise en veille de disque dur configurable.

Améliorations:
- Amélioration des performances d’affichage de l’interface.
- Amélioration générales des performances.
- Amélioration de la fluidité en 23,976p (attention! saccades toujours présentes sur les codecs VC-1 et AVC-H.264 High@L4 / 4.0).
- Amélioration du serveur SMB et ajout de la compatibilité SMB 2.0.
- Amélioration du panneau d’affichage des infos en cours de lecture avec en particulier l’indication du bitrate.
- Par défaut, les sous-titres sont désormais désactivés.
- Lors de la reprise de lecture d’un fichier, c’est la dernière piste de sous-titres utilisée en lieu et place des sous-titres par défaut.
- Amélioration de la prise en charge des sous-titres par défaut - Attention! Les sous-titres par défaut ne fonctionnent pas sur certains fichiers tels que les M2TS.
- Mise à jour de Zappiti Service avec possibilité de choisir une fréquence de 23,976 Hz afin d’éviter l’écran noir au lancement d’un film.

Correction:
- Correction d’un problème qui ne permettait plus d’afficher les infos à la pression du bouton OK de la télécommande.
- Correction d’un problème qui empêchait la reconnaissance réseau du second disque dur interne (Zappiti Duo 4K HDR / Pro 4K HDR / Pro 4K HDR Audiocom)
- Suppression de l’option DP Same as source des options pour les développeurs dans les settings qui provoquait des problèmes d’affichage.
- Correction de la traduction française du message d’indication de changement de résolution et fréquence.
- Suppression de l’option Screenlock qui pouvait nécessiter de réinstaller le firmware.
- Suppression de l’option HDMI Rx.
- Suppression de l'application YouTube qui ne fonctionnait plus (une version fonctionnelle 4K est disponible via MyApps / AptoideTV)

Téléchargement du firmware (Zappiti One, One SE, Duo, Pro 4K HDR)...

La version pour les Mini 4K HDR arrivera plus tard.

Procédure d'installation...

mercredi 22 janvier 2020

Nouveauté Blu-ray : Rambo Last Blood

Rambo est désormais installé dans l'Arizona où il mène une vie tranquille dans son immense ranch. Il partage sa vie avec la famille qu'il s'est choisie, Maria et sa petite-fille Gabriela, auprès de qui il se sent entouré et apaisé. Mais lorsque Maria part en secret au Mexique sur les traces de son père biologique, elle est kidnappée par un gang de narco-trafiquants pratiquant aussi la prostitution...
Region B
Format Image: 2.40  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 7.1
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : The Boat

Alors qu'un jeune homme est parti pêcher en mer, le temps se couvre. Un bateau apparaît au milieu du brouillard. Le pêcheur monte à bord et découvre qu'il est vide. Lorsqu'il veut retourner sur son embarcation, celle-ci a disparu. Il se retrouve donc seul à bord de ce vaisseau fantôme. Vraiment seul ?...
Region B
Format Image: 2.39  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Terror Train (Le Monstre du Train)

Afin de fêter comme il se doit la nouvelle année, un groupe d'étudiants organise un réveillon costumé dans un train à vapeur. Entre drogues, alcool, danse et divertissements, la soirée promet d'être animée. Mais un tueur s'est introduit dans le train...
Region B
Format Image: 1.85  16/9
Pistes Sonores: Anglais, Français DTS-HD MA 2.0
Sous-Titres: Français
Inclus le DVD Zone 2 du film
Disponible à la boutique HD LAND

vendredi 17 janvier 2020

Critique de Ça : chapitre 2 (2019) de Andy Muschietti


 💡 À savoir :

Réalisé par le surdoué Andy Muschietti, déjà aux commandes de l'opus précédent en 2017, ce réalisateur fait partie de la nouvelle vague marquant le renouveau du cinéma d’horreur espagnol. Avant l’épisode initial de Ça il y a deux ans, Andy n’avait fait ses preuves qu’en réalisant uniquement l’effrayant Mamà en 2013, mais il pouvait alors compter sur un producteur délégué particulièrement reconnu, ce très cher Guillermo del Toro (Le labyrinthe de Pan).

Ces deux films d’épouvante sont des nouvelles versions "revisitées" des deux téléfilms de 1990, Ça et Il est revenu où le clown sadique était personnifié par un Tim Curry (Maman j’ai encore raté l’avion) au meilleur de sa forme quand il s'agissait de traumatiser plusieurs générations pendant plus de 25 ans.

Tous sont adaptés du roman "Ça" de l’illustre écrivain Stephen King, qui comptait l’intégralité du combat entre le Club des Losers et le terrifiant Grippe-sou, de l’enfance à l’âge adulte. Ce livre fut la meilleure vente littéraire aux états-unis durant l’année de sa publication en 1986. Ces dernières représentations modernes sur grand écran se veulent sensiblement plus fidèles que les téléfilms d’il y a 30 ans par rapport au récit original de l'éminent compteur d’histoires lugubres.

D'ailleurs, Stephen King lui-même fait une brève apparition rigolote en cameo dans ce second volet, il n'en tiendra qu'à vous de le reconnaître.

Cette fois les rôles des chérubins devenus des grandes personnes, sont tenus par des acteurs qui ont fait leurs preuves. Ainsi, nous découvrons que James McAvoy (Split) interprète un Bill qui n’a apparemment rien perdu de son bégaiement. Jessica Chastain (X-Men : Dark Phoenix dans lequel elle donnait déjà la réplique à James McAvoy) joue une Beverly encore choquée et fragilisée par ses expériences malheureuses d'antan. Bill Hader (La nuit au Musée 2) fait un Richie névrosé, cinglant et cynique histoire de mieux cacher son secret qu’il pense inavouable. Jay Ryan, principalement habitué à jouer dans des séries TV (Beauty and the Beast), incarne ici le petit Ben qui, en dépit de sa transformation physique depuis l’enfance, reste enfermé dans sa solitude, rongé par ses complexes d’obésité qui le poursuivent. James Ranson (Oldboy) quant à lui, est Eddie, et conserve toute sa nervosité et son tempérament à tendance hypocondriaque. Isaiah Mustafa (Le rêve du chanteur masqué) endosse le rôle de Mike, celui qui va tous les réunir à nouveau autour de leur périlleuse mission commune. Enfin, c’est Bill Skarsgard (Divergente 3) qui rendosse le costume putride de l’effroyable clown dansant Grippe-Sou (PennyWise en version originale).

Je ne sais pas pour vous, mais personnellement il ne m'inspire pas trop confiance 🤔

📖 L’histoire :

27 ans se sont écoulés depuis que les membres du Club des Ratés ont vaincu l’abominable Grippe-Sou.

Cette victoire a laissé un goût très amer à notre bande de joyeux camarades, même une fois l'âge mûr atteint.

En effet, maintenant tous adultes, le groupe avait fini par se séparer et quitter leur ville de Derry, s’éparpillant sur le continent afin d’oublier cette expérience traumatisante qu’ils avaient vécue. Dorénavant, ils essaient de vivre leur vie tranquillement, tout en continuant à lutter contre leurs démons du passé qui les rattrapent.

Mais c’était sans compter sur la réapparition inattendue de l'histrion sanguinaire dans la ville où ils ont grandi.

Seul Mike était resté sur place depuis tout ce temps pour continuer à surveiller, et il se trouve que ses craintes profondes finirent par se matérialiser puisque c’est lui qui apprend le retour de l’ignoble créature en premier, et qui fait donc en sorte de réunir le fameux Club des Losers à nouveau.

Ils s’étaient tous faits cette promesse d’en venir définitivement à bout dans le pire des cas où "il" finirait par revenir. Seulement pour mener leur dangereuse mission à bien, ils devront d'abord recoller les morceaux enfouis de leur mémoire lointaine. Etant donné que notre équipe d'amis partagent tous, à différents niveaux, une amnésie commune, ils vont devoir improviser chacun leur tour face à l'affreux clown métamorphe toujours autant manipulateur. Amateur forcené de torture psychologique, il entretient plus que jamais son goût prononcé pour l'hémoglobine. Arriveront-ils à surmonter leurs plus terribles angoisses de sorte à pouvoir respecter leur pacte de sang, et occire cette entité mystérieuse et diabolique une bonne fois pour toutes?

Club des Losers, RASSEMBLEMENT !!!

📹 Réalisation / mise en scène :

Ce deuxième chapitre est bien ancré dans la continuité de celui qui le précède. Ainsi, nous y retrouvons la ville de Derry abîmée par le poids des années tout comme nos héros empreints de mélancolie.

Le défi de faire cohabiter deux époques distinctes dans le même récit était difficile à réaliser. En effet, il fallait jongler judicieusement entre le présent se déroulant à notre époque, et les flashbacks omniprésents qui se déroulent 27 ans plus tôt. Force est de constater que cette partie là est parfaitement maîtrisée de bout en bout, tant les allers-retours dans le temps qui sont offerts aux yeux du spectateur, s’enchaînent avec fluidité et justesse. Les différents plans de transitions temporelles utilisés sont plutôt discrets mais astucieusement tournés.

Les relations entre les personnages sont souvent touchantes, imprégnées de nostalgie, et les rendent attachants, comme lorsque nous assistons à leurs émouvantes retrouvailles. L’alchimie se ressent énormément le peu de fois où nous les voyons tous réunis ensemble, cependant l'intérêt retombe bien vite face aux intrigues s’attardant (bien trop) longuement sur les têtes d'affiche. Ce découpage qui développe les traumas de nos perdants préférés, est franchement irrégulier. Dosage maladroit qui met à l'écart certains des protagonistes relégués au rang de quasi-figurants, complètement inutiles voire même inexistants, tandis que les états d’âme des autres se voient à peine effleurés, de par l’atrophie générale de l’écriture.

Les acteurs essayent de faire au mieux avec le peu de dialogues inspirés qu'ils ont, ce qui ne contribue pas vraiment à nous identifier à ces personnalités bien trop maigrement dépeintes. Néanmoins, leur prestation reste à saluer puisque, malgré ces raccourcis scénaristiques et quelques séquences inutilement chronophages, il faut bien reconnaître qu’ils font bien le boulot en bonne et due forme, et que leur palette d’émotions reste interprétée de manière saisissante. Nous pouvons aussi assister à une romance triangulaire sobrement développée, qui apporte un bonus non négligeable dans la narration, sans tomber dans le piège classique d'une mièvrerie dégoulinante.

L’imagerie monstrueuse autour de l’immonde croque-mitaine, souffre également d’instabilité tellement elle peut largement osciller entre le gros malaise bien étudié pour un rendu extrêmement dissonant, et le ridiculement grotesque malgré lui. Effectivement, sur ce point, les fameuses apparitions de Grippe-Sou font monter insidieusement la tension, et instaurent une ambiance pesante et inquiétante parsemée de lenteurs bienvenues, jusqu’à ce que chacune de ces scènes se terminent en apothéose à base de “jump scare” (bruit + image soudaine dans le but de faire sursauter) bien bourrins qui débordent d’images de synthèse pas nécessairement très crédibles.

Il est assez dommage que ces passages déchirant le tissu de la réalité ne maintiennent pas leur atmosphère malsaine jusqu'à leur point culminant, et se terminent mécaniquement en déluge soudain d’effets spéciaux numériques qui brisent le naturel et nous sortent totalement de l’intensité graduelle de l'action. Cela donne parfois davantage l’impression d’être devant une adaptation des bouquins d’épouvante “Chaire de poule” issus de la littérature jeunesse, que devant une adaptation d’un des plus célèbres ouvrages du roi de la peur, j'ai nommé Sir Stephen King. Les quelques répliques “humoristiques” ciblées pour désamorcer les enjeux lors des plus hauts pics de suspense, n’aident pas non plus dans l’immersion et l’implication du public. 

Au clair de la Lune, mon ami Pierrot !

 💛 Impression générale :

Inégal, ce Ça : chapitre 2 fait manifestement moins l’unanimité dans cette suite. Moins attachant, moins surprenant, et moins terrifique, le long-métrage suit strictement le même schéma narratif que son prédécesseur, du début à la fin, ce qui peut s’avérer relativement lassant. Hélas, la répétition cyclique de ces passages rend l’action redondante et donc forcément ultra prévisible.

Heureusement il arrive à ajouter une touche de nostalgie poignante au sein de son scénario, ce qui apporte un renouveau fort bienvenu dans cette course poursuite infernale "en dents de scie" d'une durée assez poussive de 2h50.

Ça, avait rapporté 700 millions de dollars au box office en 2017 pour un minuscule budget de 35 millions de dollars autrement dit, il avait réussi l’exploit de multiplier sa mise par 20.

Ce deuxième opus se dote d’un budget qui a plus que doublé, atteignant les 80 millions de dollars, pourtant cette fois il ne rapporta “que” 450 millions de dollars au box office, soit un peu plus de 5 fois sa mise de départ.

Par conséquent, le record battu par l’oeuvre antérieure pour le meilleur démarrage d’un film d’horreur de tous les temps, ne sera décidément pas réitéré ici, car au final les foules ne se seront pas précipitées en masse dans les salles obscures ce coup-ci hélas.

En même temps il fallait s'y attendre, dans une telle saga horrifique, à y suivre une clique qui se fait surnommer le Club des "Losers", évidemment qu'on ne peut pas gagner à tous les coups.

Mais qu'est-ce que c'est que ce cirque?!

🏆 Notes parmi l'équipe :

Damien

Olivier


Critique rédigée par Damien



jeudi 16 janvier 2020

CES 2020: Samsung QD OLED, une nouvelle technologie d'affichage hybride compatible 8K





Afin de contrer la technologie OLED, Samsung Display et NanoSys Inc. (fournisseur des dalles QLED pour Samsung, Acer, Hisence et d'autres marques) travaillent activement sur une nouvelle technologie d'affichage intitullée QD OLED. Cette nouvelle technologie combine les qualités de l'OLED avec ceux du QLED. Deux prototypes étaient présentés au CES 2020 dont un 31,5 pouces 4K et un 65 pouces en résolution 8K. Les premières impressions sont encore mitigées si l'on en croit les queslques industriels triés sur le volet qui ont pu profiter d'une démo. En effet, les noirs ne seraient pas aussi profonds que ceux d'un téléviseur OLED et la luminosité réduite. En revanche l'angle de vision serait bien meilleur que celui des QLED commercialisés actuellement et la colorimétrie irait plus loin que celle des OLED utilisant un sous-pixel pixel blanc comme dans les dalles OLED actuelles de LG (WOLED). Selon un communiqué de Samsung, la technologie pourrait à terme proposer un gamut encore plus large et une luminosité surpassant celle des OLED actuels.

Mais la durée de vie serait encore un problème à résoudre ainsi que des soucis de montée en température lorsque la luminosité est trop élevée. Il est donc peu probable que cette technologie arrive sur le marché rapidement même si des rumeurs parlent de 2022. Mais elle pourrait à l'avenir surpasser toutes les autres technologies en terme de rendu et de qualité d'image.

Affaire à suivre donc.

Source: ETNews



Nouveauté 4K Ultra HD Blu-ray : Ad Astra

L’astronaute Roy McBride s’aventure jusqu’aux confins du système solaire à la recherche de son père disparu et pour résoudre un mystère qui menace la survie de notre planète. Lors de son voyage, il sera confronté à des révélations mettant en cause la nature même de l’existence humaine, ainsi que notre place dans l’univers...
Region A,B,C (Blu-ray 2K)
Format Image: 2.39  16/9  HDR10
Pistes Sonores: Anglais Dolby Atmos, Français DTS 5.1
Sous-Titres: Français
Inclus le Blu-ray 2K du film
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Ad Astra

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Region A,B,C
Format Image: 2.39  16/9
Pistes Sonores: Anglais DTS-HD MA 7.1, Français DTS 5.1
Sous-Titres: Français
Disponible à la boutique HD LAND

Nouveauté Blu-ray : Trois Jours et une Vie

1999 - Olloy - Les Ardennes belges. Un enfant vient de disparaître. La suspicion qui touche tour à tour plusieurs villageois porte rapidement la communauté à incandescence. Mais un événement inattendu et dévastateur va soudain venir redistribuer les cartes du destin...

Region A,B,C
Format Image: 2.39  16/9
Pistes Sonores: Français DTS-HD MA 5.1 & 2.0
Sous-Titres: Français (sourds et malentendants)
Disponible à la boutique HD LAND

mercredi 15 janvier 2020

CES 2020: Réalité augmentée holographique pour voitures





WayRay, une société spécialisée dans les systèmes d'affichage holographique qui s'est principalement concentrée sur les écrans de réalité augmentée (AR) créés pour l'industrie automobile était au CES 2020 pour présenter son dernier produit, un écran holographique couleur à destination des pare-brises des futures voitures qui devraient commencer à en être équipée d'ici quelques années. Pour le moment, la technologie est trop chère pour être adoptée par les fabricants de voitures mis à par pour les voitures de luxe, mais nul doute que le futur adoptera sans conteste cette technologie prometteuse à l'avenir.

Vitaly Ponomarev, fondateur et PDG de WayRay, commente: « Nous venons au CES pour la quatrième fois consécutive, et chaque fois que nous essayons de surpasser nos réalisations précédentes et de démontrer de nouvelles mises à jour de la technologie AR holographique. Cette année, l'affichage AR holographique est mis à jour avec l'ajout d'un laser bleu, offrant une expérience RVB complète. »

En termes de plans d'expansion, le premier est un partenariat stratégique avec Covestro, un fournisseur de matériaux polymères de haute technologie. La société développe actuellement de nouveaux produits photopolymères pour les applications AR HUD automobiles et le partenariat vise à créer de nouvelles solutions qui peuvent être intégrées dans les pare-brise.

La deuxième collaboration est avec Doosan Bobcat, une société d'ingénierie et de fabrication qui crée des équipements de construction compacts comme le chargeur Bobcat. WayRay souhaite ajouter son HUD Holographic AR à l'équipement Doosan Bobcat, offrant aux opérateurs plus d'informations pour faire fonctionner l'équipement de manière plus efficace et productive.

Voir le site officiel de WayRay...





mardi 14 janvier 2020

MyCanal Ultra HD 4K compatible avec les TV Sony






Bonne nouvelle pour les français! Le site AV Cesar nous rapporte en effet que les abonnés Canal+ pourront profiter de contenus en 4K Ultra HD natif dont plusieurs séries TV sur de nombreuses références de téléviseurs Sony 4K UHD.

MyCanal Ultra HD 4K sera ainsi dispo sur pas moins de 6 séries Smart TV Sony.


Modèles concernés:

LCD
Sony XG85/Sony XG95 et Sony ZD9

OLED
Sony AF9/Sony AG9

8K
Sony ZG9

Sony annonce par ailleurs que 100% des modèles 2020 de téléviseurs Smart TV de la marque du soleil levant devraient être compatibles (sous réserve de validation de chaque modèle la part de Canal+).

Source : AVCesar


samedi 11 janvier 2020

CES 2020: Ecran holographique 8K 60p Looking Glass Factory





Durant le CES 2020 de Las Vegas le fabricant Looking Glass Factory a volé la vedette aux grandes marques cette année avec ses écrans holographiques qui utilisent une version de la technologie du champ lumineux (light-field technology) pour un effet 3D sans lunettes. La société a montré un nouvel écran holographique 32 pouces en couleur doté d'une résolution de 8K (7680 x 4320) capable d'afficher des images à une fréquence de 60 Hz. Ce nouvel écran destiné avant tout à l'imagerie médicale sera disponible ce printemps 2020. Le prix n'est pas connus pour le moment mais nul doute qu'il sera hors de portée du grand public.

Caractéristiques techniques:

Environ 32 pouces de diagonale
Angle de vision allant jusqu'à 50 degrés
Visualisation de groupe avec jusqu'à 12 personnes
Fréquence d'affichage jusqu'à 60 Hz

Disponibilité: Printemps 2020
Prix: NC




CES 2020: Lunettes VR compatibles UHD HDR chez Panasonic





2020 sera une année clé pour l'avenir de la réalité virtuelle, et si les choses décollent vraiment, nous devrions voir des casques beaucoup plus élégants comme ces lunettes de réalité virtuelles de chez Panasonic. La société affirme que ce sont les premières lunettes VR à prendre en charge la vidéo HDR en résolution UHD. Une démo montrait une vidéo UHD d'une plage capturée à partir d'un drone, et en HDR, il ne semblait pas y avoir de problèmes de solarisation.



Une autre partie de la démo proposait une reconstitution virtuelle d'un temple japonais, montrant des zones où les visiteurs ne sont pas autorisés à aller. La haute qualité des scans utilisés pour créer le temple combinée avec les lunettes en font une expériences virtuelles extrêmement réaliste. Cela est rendu possible grâce à l'utilisation de micro OLED nouvelle génération.



Les lunettes seraient également compatibles avec les porteurs de lunettes grâce à des lentilles interchangeables permettant une correction adaptée à chaque œil.

Panasonic et son partenaire Kopin Corporation prévoient de sortir une version commerciale l'année prochaine. L'intégration d'un module 5G est à l'étude.

JVC EXOFIELD : Casque home-cinema avec son multicanal 7.1.4





JVC KENWOOD vient de présenter au salon CES Las Vegas 2020 son système de Home Cinema sans fil, offrant un champ sonore multicanal avec un casque audio.

Le XP-EXT1 utilise EXOFIELD, une technologie exclusive JVC s'appuyant sur le traitement du champ sonore, pour permettre aux utilisateurs du casque de profiter pleinement des sources sonores multicanales, y compris de Dolby Atmos et le DTS:X. De plus le champ sonore est optimisé pour chaque auditeur et chaque environnement d'écoute afin d'assurer une expérience la plus réaliste et la plus immersive possible.

Le XP-EXT1 est composé de plusieurs éléments : un casque audio et un processeur numérique dédié, ainsi qu'une application smartphone gratuite. En utilisant les microphones intégrés au casque et liés à l'application smartphone, les utilisateurs peuvent mesurer les caractéristiques acoustiques de la pièce d'écoute, des enceintes, ainsi que des oreilles et du visage de l'auditeur. Ces mesures sont comparées à une base de données de mesures acoustiques, et un algorithme de correspondance est sélectionné pour fournir une expérience d'écoute adapté à l'environnement d'écoute de chaque individu.



Ainsi, les amateurs de Home Cinéma peuvent profiter d'un son multicanal jusqu'à 7.1.4 canaux en utilisant leur casque, mais avec la sensation que le son provient d'enceintes virtuelles. Le tout sans déranger les autres personnes à proximité. Le système permet aussi d'obtenir un son 7.1.4 à partir de 5.1 canaux ou de 2 canaux.

Le casque se connecte au processeur par une transmission sans fil 5GHz. De plus, le processeur possède une entrée/sortie HDMI qui prend en charge la sortie vers des écrans et des projecteurs compatibles 4K, ainsi que trois entrées HMDI, permettant à la connexion de trois appareil au maximum. Il est possible d'enregistrer les paramètres de quatre utilisateurs et de les régler avec précision à distance à l'aide de l'application en sélectionnant l'un des quatres modes de son disponibles : « Cinéma, Musique, Jeu et Personnalisé ».

Le casque est équipé d'un haut-parleur en néodyme à force magnétique de 40mm et de grands coussinets souples pour une écoute confortable pendant de nombreuses heures.


Prix public conseillé : 1000€ TTC.

Disponible au printemps 2020.